Le esoterisme : technique cartomancie croisée



La difficulté du sujet mais aussi la diversité de ses expositions amènent au décortiquer d'après plusieurs voies d'accès : étymologie, définitions, origines, images, types.

Le terme ésotérisme est de provenance grecque et, dans l'antiquité, désignait traditionnellement des formations destinés à un petit nombre d'initiés, notamment dans les mystères, entre autres les mystères de Éleusis.

Le terme ésotérisme a été exploité, en occident, en vue de nommer des enseignements toutes les courants, qui, au sein du christianisme, ils appartenaient à des atmosphères cloisonnés nonnés, pour la même raison, d'ésotériques et regroupés sous la dénomination générale d'ésotérisme chrétien auquel appartient en particulier l'hermétisme chrétien. On emploie aussi cette appelation, dans ce contexte, à propos des écrits de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on offre également le nom de rédigés théosophiques. Ce dernier aspect doit être discerné de la société théosophique, mouvement moderne fondée par madame blavastky. Et dont l'aspect obscur est refusé par certains auteurs, au sein de lesquels rené guénon1.


Le mot ésotérisme est utilisé à propos de l'islam pour nommer le soufisme, ensemble de dogmes de nature cachée et initiatique dans cette religion. Dans la religion islamique, l'ésotérisme, au sens global, est appelé plus globalement le tasawuf : le soufisme se montre ainsi telque la formulation islamique du tasawuf.

Dans le judaïsme, les enseignements de nature ésotérique sont regroupés sous le nom de kabbale.


Le taoïsme, par exemple dans son apparence touchant la quête de vie éternelle, est également considéré comme étant de nature ésotérique.




hermétisme

L'hermétisme est une philosophie, une croyance, un ésotérisme, ou une spiritualité à la recherche du salut, par l'humeur mais présumant le savoir analogique du cosmos. Le salut passe par le savoir : se savoir, se concéder comme étant fait de vie et de lumière, comme dieu, en tant qu'intelligence. Et ceci constitue une admiration, la vue du bonheur, en sa perfection impérissable, sans queue ni tête

Certes, l'hermétisme grecque égyptien est littéraire, mais on devine des initiations. Il apparaît que les hermétistes alexandrins pratiquaient un culte plus psychique que rituelle, prônant la discipline de l'arcane , la contemplation, beaucoup d'activités extatiques. Tels que le note l'eliade, nous sommes en présence d'un nouveau type médiatique des sagesses obscurs. À la particularité des assos fermées comportant une organisation hiérarchique, des rituels initiatiques et la révélation graduelle d'une doctrine mystèrieuse, l'hermétisme, tout comme l'alchimie, implique uniquement beaucoup de contenus révélés, transmis et interprétés par un 'maître' à quelques partisans soigneusement concues... L'écrit sacré est omi durant des centaines d'années, il suffit qu'il soit retrouver par un lecteur compétent pour que son propos redevienne intelligible et comtemporain.

A partir d'un diagnostic de l'accord de nag hammadi sur l'ogdoade ( c. A. D. La neuvième sphères célestes ), de nombreux experts concluent maintenant à l'existence de rites et de groupements hermétiques dans les 1ers siècles chrétiens. De même que la quête hermétique du dieu démesuré n implique pas l'abandon du polythéisme égyptien, la progression sur la voie d'immortalité se suis de l'utilisation de l'horoscope ( pour connaître le chemin de l'hausse de l'esprit ) et de l'alchimie ( pour apprendre à redevenir soi-même ). L'existence d'objets également de grand prix que la carte hermétique de l'espace figurant sur les tablettes astrologiques de grand remet incertain la désignation d'hermétisme populaire attachée à ces activités. Il faudrait plutôt y voir une littérature hermétique pratique, en supplément des documents hermétiques philosophiques.

les autres hermétismes :

M faivre a suggéré que à côté du mot hermétisme ( hermetism anglophone ), servant à désigner le corps de dogmes des hermetica ainsi que leurs gloses et exégèses, on emploie le mot hermésisme ( hermeticism en anglais ) afin de nommer une collection plus important de dogmes, de croyances et d'habitudes, dont la constitution s'est précisée à x v em siècle. Elles ne dépendent pas nécessairement de la tradition hermétique alexandrine, mais incluent aussi bien la kabbale chrétienne, la théosophie, et d'une manière générale la majorité des formes que revêt l'ésotérisme occidental actuelle