Vaudouisme et esoterisme : technique spiritualité
La difficulté de l'objet ainsi que la diversité de ses expositions amènent à l'analyser selon de nombreux chemins d'accès : étymologie, significations, origines, images, types.
Le terme ésotérisme a été utilisé, en occident, afin de nommer des éducations toutes les courants, qui, au sein du christianisme, ils appartenaient à des atmosphères fermés qualifiés, pour la même raison, d'ésotériques et rassemblés sous la désignation globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient en particulier l'hermétisme chrétien. On utilise également cette dénomination, dans ce contexte, en ce qui concerne les écrits de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on donne également la dénomination d'écrits théosophiques. Ce dernier terme doit être discerné de la société théosophique, mouvement moderne crée par mme blavastky. Et dont le comportement obscur est refusé par beaucoup d'auteurs, au sein de lesquels rené guénon1.
esotérisme et spiritualité
Les lectures ésotériques de tout le monde ou des textes sacrés sont venues au monde de la nécessité de dire des émotions d'ordre spirituel à partir de mots. Comme aucun mot du vocable courant ne correspond à ce défi, la lecture ésotérique requière des paraboles, à des images ou bien à des signes, plus que à la culture religieuse, ceci par besoin plus que par volonté de dissimuler les choses.
Ainsi, l'alchimie n'aurait pas pour but de changer le plomb en or mais d'afficher une analyse allégorique, indirecte, de la richesse spirituelle, à travers les métaux. Le plomb et l'or sont alors réciproquement les emblèmes des hommes brut et de l'homme régénéré. L'implique que ces signes se trouvent liés à la sphère matérielle et bassement pécuniaire de tout le monde était un moyen pour les alchimistes de juger les gens qui débarquaient les voir uniquement afin de faire de l'or, du profit. Une personne attirée par le seul appât du gain ne pouvait attester à la connaissance spirituel, durant qu'une autre, envers qui la perception allégorique parlait, pouvait accéder à la formation du maître. La lecture, et le niveau de connaissance des signes détermine alors la maturité spirituelle d'une personne, et, par suite, sa capacité à concevoir la tradition ésotérique dans laquelle elle s'inscrit.
Néanmoins une autre partie des alchimistes usait de cette même prétention pour se faire venir les faveurs du prince, s'ouvrant donc leur cour. Au xve siècle, la fortune de gilles de rais y passa.
Le terme ésotérisme a été utilisé, en occident, afin de nommer des éducations toutes les courants, qui, au sein du christianisme, ils appartenaient à des atmosphères fermés qualifiés, pour la même raison, d'ésotériques et rassemblés sous la désignation globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient en particulier l'hermétisme chrétien. On utilise également cette dénomination, dans ce contexte, en ce qui concerne les écrits de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on donne également la dénomination d'écrits théosophiques. Ce dernier terme doit être discerné de la société théosophique, mouvement moderne crée par mme blavastky. Et dont le comportement obscur est refusé par beaucoup d'auteurs, au sein de lesquels rené guénon1.
esotérisme et spiritualité
Les lectures ésotériques de tout le monde ou des textes sacrés sont venues au monde de la nécessité de dire des émotions d'ordre spirituel à partir de mots. Comme aucun mot du vocable courant ne correspond à ce défi, la lecture ésotérique requière des paraboles, à des images ou bien à des signes, plus que à la culture religieuse, ceci par besoin plus que par volonté de dissimuler les choses.
Ainsi, l'alchimie n'aurait pas pour but de changer le plomb en or mais d'afficher une analyse allégorique, indirecte, de la richesse spirituelle, à travers les métaux. Le plomb et l'or sont alors réciproquement les emblèmes des hommes brut et de l'homme régénéré. L'implique que ces signes se trouvent liés à la sphère matérielle et bassement pécuniaire de tout le monde était un moyen pour les alchimistes de juger les gens qui débarquaient les voir uniquement afin de faire de l'or, du profit. Une personne attirée par le seul appât du gain ne pouvait attester à la connaissance spirituel, durant qu'une autre, envers qui la perception allégorique parlait, pouvait accéder à la formation du maître. La lecture, et le niveau de connaissance des signes détermine alors la maturité spirituelle d'une personne, et, par suite, sa capacité à concevoir la tradition ésotérique dans laquelle elle s'inscrit.
Néanmoins une autre partie des alchimistes usait de cette même prétention pour se faire venir les faveurs du prince, s'ouvrant donc leur cour. Au xve siècle, la fortune de gilles de rais y passa.