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Maintenant, et en occident, le mot ésotérisme a été étendu à un chiffre considérable de mouvements, dont, entre autres, la magie, mais l'application de ce terme à ces domaines a été contesté par des auteurs, particulièrement rené guénon.
Par ailleurs, beaucoup de remous sectaires s'appuient sur des contenues à teneur ésotérique.
Étymologie
L'adjectif grec ésotérique vient du grec , qui signifie interne ( dérivé de l'adverbe, à l'intérieur ). De plus, le sens est en relation avec les écoles philosophiques grecques, surtout au pythagorisme qui distinguait entre partisans initiés ( les obscurs ) et non pratiquants, lesquels sont soit d'avenirs pratiquants, des novices , soit des gens classiques ( les ignorants ). On repère le terme obscur, pour la première fois, chez un auteur comique, lucien de samosate, dans sectes au rabais , vers 1663 : il désire faire un durant terminologique à exotérique, mot déjà répandu depuis aristote. Vers 310, le métaphysicien néoplatonicien jamblique offre la dénomination d'ésotériques aux adeptes les plus savants de pythagore. La dénomination esôterisme appartient au démotique. Les bouquins ézotériques des vieux ne pouvaient s'entendre, s'ils n'en donnoient eux-mêmes l'explication. La dénomination ésotérisme, en français, date de 1828 : il semble chez le spécialiste de l'histoire jacques matter, au sein d'un livre qui traite d'ésotérisme chrétien, histoire critique du gnosticisme, p. 837. En british, esoteric apparaît en 1701, en tant que nom, dans l'history of philosophy de thomas stlanley, en ce qui concerne les disciples de pythagore : the auditors of pythagoras ( etc. ) were of two sorts : exoterick and esoterick. Stanley a parfaitement observé que les exotériques ne sont pas des ignorants mais des partisans du premier degré, débutants. Le terme anglais esotericism ( pour ésotérisme ) voit le jour en 1846.