Le terme ésotérisme a été utilisé, en occident, en vue de nommer des formations toutes les courants, qui, au sein de l'église chrétienne, ils appartenaient à des environnements cloisonnés nonnés, pour la même raison, d'obscurs et regroupés sous l'appellation globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient en particulier l'hermétisme chrétien.

Le bouddhisme comporte quelques branches ésotériques ( vajrayâna tibétain, shingon japonais ) préconisant des initiations afin d'arriver au nirvâna. Le bardo thödol des tibétains est un livre ésotérique qui puise ses fondements dans l'idéologie indienne du samkhya.


secrets de Éleusis
Dans la croyance grecque antique, les mystères de Éleusis faisaient partie d'un culte à mystères, de nature obscur, effectué dans le temple de déméter à Éleusis. Ils sont pour déméter et sa fille perséphone.


D'après la mythologie de la grèce antique, hadès ôta perséphone, durant d'une cueillette de fleurs dans les herbages d'enna ( sicile ), en vue de l'épouser et en faire la reine des enfers.

Chaque année, il y avait deux célébrations des mystères de Éleusis : les grands secrets et les petits mystères. C'était alors que les hommes religieux purifiaient les mystes et que l'on sacrifiait un cochon à déméter.

Les grands secrets demeuraient neuf jours, selon la durée de vagabondage de déméter à la recherche de son enfant. En septembre, avant l'automne, on se préparait aux fesitivités préalables qui se fesaient à l'extérieur et qui sont donc plus représentées. La première partie du rituel commençait par un cortège pendant laquelle on déplaceait des reliques sacrées jusque à athènes pour les placer dans le Éleusinion, un sanctuaire au point de départ de l'acropole. L'archonte-roi d'athènes se trouvaient être l'intendant principal du rituel. Les secrets étaient ouverts à tout le monde, personnalité importantes comme pauvres, hommes libres comme esclaves.