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Le mot ésotérisme est de provenance grecque et, à l'époque antique, avait nommé habituellement des éducations destinés à un petit nombre de pratiquants, particulièrement au sein des secrets, entre autres les mystères de Éleusis.
Le terme ésotérisme a été utilisé, en occident, en vue de nommer des enseignements toutes les courants, qui, dans l'église chrétienne, ils étaient à des milieux cloisonnés nonnés, pour la même raison, d'ésotériques et regroupés sous la désignation globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient spécifiquement l'hermétisme chrétien. On utilise aussi cette appelation, dans ce contexte, en ce qui concerne les écrits de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on offre aussi le nom d'écrits théosophiques. Ce dernier élément devrait être différencié de la société théosophique, mouvement actuelle fondée par mme blavastky. Et dont le caractère ésotérique est contesté par certains auteurs, au sein de lesquels rené guénon1.
Le mot ésotérisme est exploité en ce qui concerne l'islam afin de nommer le soufisme, combiné de doctrines de nature cachée et initiatique dans cette religion. Dans l'islam, l'ésotérisme, au sens global, porte le nom plus généralement le tasawuf : le soufisme se montre ainsi telque la formulation islamique du tasawuf.
L'ésotérisme fait usage de symboles. Ces derniers seront empruntés à la tradition aussi bien que à la nature. Le rôle du symbole dans l'ésotérisme est de signifier autre chose que le sens matériel, en affichant soit un sens profond soit une représentation approximative d'un savoir faire spirituelle. Le pentagramme, empruntés à la géométrie, le nombre d'or aux valeurs magiques et mystérieuses ou le chiffre pi, emprunté aux mathss, mais aussi des animaux à forte charge allégorique, tels que la tortue, le bouc, des fleurs puissamment évocatrices, tels que la rose.