Les livres ézotériques des vieux ne pouvaient s'entendre, s'ils n'en donnoient eux-mêmes l'interprétation. Le nom ésotérisme, en langue française, date de 1828 : il semble chez l'historien jacques matter, au sein d'un livre qui parle d'ésotérisme chrétien, histoire critique du gnosticisme, p. 837.

La complexité du sujet ainsi que la diversité de ses expositions amènent au décortiquer d'après plusieurs voies d'accès : étymologie, définitions, origines, images, types.

Le mot ésotérisme a été exploité, en occident, afin de désigner des éducations ainsi que des courants, qui, au sein de l'église chrétienne, ils étaient à des cercles fermés qualifiés, pour la même raison, d'ésotériques et rassemblés sous l'appellation globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient en particulier l'hermétisme chrétien. On utilise également cette appelation, dans ce contexte, à propos des écrits de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on donne également le nom d'écrits théosophiques. Ce dernier terme devrait être discerné de la société théosophique, mouvement actuelle crée par madame blavastky. Et dont le caractère obscur est refusé par beaucoup d'auteurs, au sein de lesquels rené guénon1.


Le taoïsme, entre autres dans son apparence concernant la recherche de vie éternelle, est aussi considéré comme étant de nature ésotérique.





Pêle mêle, on pense à nostradamus, à l'astrologie, à l'imposante pyramide, au saint suaire de turin, au nombre d'or, au feng-shui, à gurdjieff... Chacune de ces éléments ou de ces individus, de ces conjonctures, de ces qualifications ou de ces tactiques suis trait pour trait des autres.