Le bouddhisme comporte certaines branches ésotériques ( vajrayâna tibétain, shingon japonais ) recommandant des initiations pour parvenir au nirvâna. Le bardo thödol des tibétains est un bouquin obscur qui prend ses racines dans la philosophie indienne du samkhya.

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Les métaphores, les analogies, tels que les coups de crayon, les peintures ils discutent de l'ésotérisme comme d'un œuf historique et plein, d'un labyrinthe, d'une vache...

Guénon a son image de marque préférée : l'écorce et le noyau. Ce sujet, qui est celui d'un de ceux traités de mohyiddîn ibn 'arabî, il formule sous un type emblématique les rapports de l'exotérisme et de l'ésotérisme, comparés respectivement à l'enveloppe d'un fruit et à son élément intérieure, pulpe ou amande. L'enveloppe ou l'écorce il s'agit de la sharî'a, c. A. D. Le dispositif cléricale extérieure, qui concerne tous et qui est réalisée pour être accompagnée par tout le monde. Le coeur , c'est l'haqîqa, c-à-d la vérité ou la vérité indispensable. Sur un autre symbolisme, sharî'a et haqîqa sont aussi désignées réciproquement tels que l''corpse ( el jism ) et la 'moelle' ( el-mukh ), dont les bilans sont totalement les copies conforme que ceux de l'écorce et du coeur ; et sans doute trouverait-on encore d'autres symboles synonymes à ceux-là. Ce dont il s'agit, sous certaine désignation que ce soit, c'est toujours l''extérieur' et l''intérieur' , c. A. D. L'apparent et le caché.