Dans la religion juive, les éducations d'ordre ésotérique sont rassemblés sous la dénomination de kabbale.

Maintenant, et en occident, le mot ésotérisme fut étendu à un nombre considérable de courants, dont, par exemples, la magie, mais l'utilisation de ce terme à ces domaines fut refusé par des auteurs, spécialement rené guénon.

Par ailleurs, certains remous sectaires se soutiennent sur des textes à teneur obscur.


racine

La racine fait de l'ésotérisme la doctrine des choses intérieures, donc secrètes et spirituelles.

Les ouvrages ézotériques des vieux ne pouvaient s'entendre, s'ils n'en donnoient eux-mêmes l'interprétation. Le nom ésotérisme, en langue française, date de 1828 : il apparaît chez l'historien jacques matter, dans un livre qui parle d'ésotérisme chrétien, histoire critique du gnosticisme, p. 837. En anglais, esoteric commence en 1701, en tant que nom, dans l'history of philosophy de thomas stlanley, à propos des disciples de pythagore : the auditors of pythagoras were of two sorts : exoterick and esoterick. Stanley a observé que les exotériques ne sont pas des profanes mais des partisans du premier degré, débutants. Le terme britannique esotericism naît en 1846.