Le esoterisme : decouverte / surnaturel




Le bouddhisme comporte certaines branches ésotériques préconisant des initiations pour parvenir au nirvâna. Le bardo thödol des tibétains est un livre ésotérique qui prend ses racines dans l'idéologie indienne du samkhya.


secrets de Éleusis
Dans la religion grecque antique, les secrets de Éleusis faisaient partie d'une religion à secrets, d'ordre ésotérique, effectué dans le temple de déméter à Éleusis.
origine mythologique du culte

Selon la mythologie de la grèce antique, hadès ôta perséphone, durant d'une cueillaison de fleurs dans les alpages d'enna , afin de l'épouser et en faire la reine des enfers. Les rituels des mystères étaient systématiquement réalisés par les religieux de déméter. Parmi les plus remarqués d'eux, on rencontre céléos et son fils triptolème, à qui déméter avait offert la tâche d'enseigner l'agriculture et de semer le blé. Cet aumônier avait également instauré les Éleusinies, fêtes associées à la croyance. Au sein des autres premiers prêtres sont dioclès, eumolpos et polyxène. On fêtait la croyance dans le télestérion. L'acteur principal de cette religion se fabriquait auprès de la culture du blé et le cycle vie entreposage–semis–renaissance des cultures. Comme la divulgation des rites était vraiment défendue et qu'aucun auteur n'a trahi ce secret, aucun texte ne présente avec finesse les cérémonies.



Les imposants secrets avaient duré neuf jours, selon la durée de vagabondage de déméter cherchant son enfant. Au cours de septembre, juste avant la saison d'automne, on se préparait aux fesitivités préalables qui se déroulaient à l'extérieur et qui sont ainsi plus représentées. La première partie du rite démarrait par un cortège durant laquelle on transportait des saintes reliques jusque à athènes en vue des placer dans le Éleusinion, un sanctuaire au fondement de l'acropole. Une période de jeûne s'écoulait avant que le cortège de mystes accompagnent la statue d'iacchos, les hiéra et les hommes religieux vers Éleusis au long de la route sacrée.
Quiconque parlait le grec et n'avait pas réalisé d'homicide était admissible à contribuer aux rites. Les collaborants se constituaient : des mystes qui y participaient pour une première fois pour y être initiés, des mystes adeptes y retournant une deuxième fois en vue de passer à un palier supérieur, les époptes qui étaient passés à ce niveau et les hommes religieux qui présidaient aux rites. Parmi ceux qui pilotaient le rituel, on était tomber sur 4 ministres : l'hiérophante ( celui qui montre les choses sacrées ), le dadouque , l'hiérocéryce , et l'assistant.