Le mot ésotérisme fut utilisé, en occident, en vue de nommer des formations toutes les mouvements, qui, dans l'église chrétienne, ils appartenaient à des milieux fermés nonnés, pour la même raison, d'obscurs et regroupés sous l'appellation générale d'ésotérisme catolique auquel appartient spécifiquement l'hermétisme chrétien.

La complexité du sujet mais aussi la variété de ses expositions conduisent au décortiquer d'après plusieurs chemins d'accès : étymologie, définitions, origines, images, types.

Le terme ésotérisme est d'origine grecque et, dans l'antiquité, avait désigné classiquement des enseignements réservés à une petite quantité d'initiés, particulièrement dans les secrets, par exemple les secrets de Éleusis.


Le mot ésotérisme est exploité en ce qui concerne l'islam en vue de nommer le soufisme, combiné de doctrines d'ordre cachée et initiatique au sein de cette religion. Dans l'islam, l'ésotérisme, au sens général, est nommé plus globalement le tasawuf : le soufisme apparaît donc telque la formulation islamique du tasawuf.

Dans la religion juive, les formations de nature obscur sont rassemblés sous le nom de kabbale.


l'ésotérisme comme exercice et expérience

Le principal de l'ésotérisme réside surement dans un savoir faire, de type mystique, assez souvent dissimulé, secrète. Ce vécu ésotérique, tout de même remarquable, prend plusieurs formes : extase mystique, possession par les modes de pensée, regrimpée vers l'un, vision , ensoleillement, connaissance mystique, émotion océanique... Sans chercher si loin, l'ésotérisme peut se montrer comme niveau de vie. Platon montrait l'orphisme comme une qualité de vie , le pythagorisme comme un mode de vie ( le quotidien pythagorique ). Tels que l'accentue jean-paul corsetti, il convient de distinguer radicalement l'expérience obscur de son étude savante.