Parlons occulte : apprentissage ; voyance virtuelle
La difficulté de l'objet ainsi que la variété de ses manifestations conduisent au décortiquer selon de nombreux voies d'accès : étymologie, significations, origines, images, types.
Le mot ésotérisme est de provenance grecque et, dans l'antiquité, avait nommé classiquement des formations réservés à une petite quantité d'initiés, notamment dans les mystères, entre autres les secrets de Éleusis.
Le terme ésotérisme est utilisé en ce qui concerne l'islam afin de désigner le soufisme, combiné de préceptes d'ordre cachée et initiatique au sein de cette religion. Dans la religion islamique, l'ésotérisme, au sens général, est appelé plus globalement le tasawuf : le soufisme apparaît ainsi telque la formulation musulman du tasawuf.
images
Les métaphores, les comparaisons, tels que les dessins, les peintures ils parlent de l'ésotérisme comme d'un œuf historique et plein, d'un labyrinthe, d'une perle...
Guénon a son image préférée : l'écorce et le noyau ( el-qishr wa el-lobb ). Ce thème, qui est celui d'un des nombreux traités de mohyiddîn ibn 'arabî, il formule sous un type emblématique les rapports de l'exotérisme et de l'ésotérisme, comparés réciproquement à l'enveloppe d'un fruit et à sa partie interne, pulpe ou amande. L'enveloppe ou l'écorce il s'agit de la sharî'a, c'est-à-dire la loi cléricale extérieure, qui s'adresse à tous et qui est faite en vue de être accompagnée par tous. Le coeur ( el-lobb ), il s'agit de l'haqîqa, c'est-à-dire la réalité ou la réalité crutialle. Dans un autre symbolisme, sharî'a et haqîqa sont également désignées respectivement tels que l''corpse et la 'moelle' ( el-mukh ), dont les bilans sont parfaitement les copies conforme que ceux de l'écorce et du noyau ; et sans doute trouverait-on encore d'autres signes synonymes à ceux-là. Ce dont c'est, sous certaine désignation que ce soit, c'est toujours l''extérieur' et l''intérieur' ( el-bâtin ), c. -à-d. Le visible et le caché.
Le mot ésotérisme est de provenance grecque et, dans l'antiquité, avait nommé classiquement des formations réservés à une petite quantité d'initiés, notamment dans les mystères, entre autres les secrets de Éleusis.
Le terme ésotérisme est utilisé en ce qui concerne l'islam afin de désigner le soufisme, combiné de préceptes d'ordre cachée et initiatique au sein de cette religion. Dans la religion islamique, l'ésotérisme, au sens général, est appelé plus globalement le tasawuf : le soufisme apparaît ainsi telque la formulation musulman du tasawuf.
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Les métaphores, les comparaisons, tels que les dessins, les peintures ils parlent de l'ésotérisme comme d'un œuf historique et plein, d'un labyrinthe, d'une perle...
Guénon a son image préférée : l'écorce et le noyau ( el-qishr wa el-lobb ). Ce thème, qui est celui d'un des nombreux traités de mohyiddîn ibn 'arabî, il formule sous un type emblématique les rapports de l'exotérisme et de l'ésotérisme, comparés réciproquement à l'enveloppe d'un fruit et à sa partie interne, pulpe ou amande. L'enveloppe ou l'écorce il s'agit de la sharî'a, c'est-à-dire la loi cléricale extérieure, qui s'adresse à tous et qui est faite en vue de être accompagnée par tous. Le coeur ( el-lobb ), il s'agit de l'haqîqa, c'est-à-dire la réalité ou la réalité crutialle. Dans un autre symbolisme, sharî'a et haqîqa sont également désignées respectivement tels que l''corpse et la 'moelle' ( el-mukh ), dont les bilans sont parfaitement les copies conforme que ceux de l'écorce et du noyau ; et sans doute trouverait-on encore d'autres signes synonymes à ceux-là. Ce dont c'est, sous certaine désignation que ce soit, c'est toujours l''extérieur' et l''intérieur' ( el-bâtin ), c. -à-d. Le visible et le caché.