Le terme ésotérisme a été exploité, en occident, en vue de nommer des formations ainsi que des courants, qui, dans le christianisme, ils étaient à des milieux cloisonnés qualifiés, pour la même raison, d'obscurs et rassemblés sous la désignation générale d'ésotérisme chrétien auquel appartient spécifiquement l'hermétisme chrétien.

Le terme ésotérisme est d'origine grecque et, dans l'antiquité, avait nommé traditionnellement des éducations destinés à un petit nombre de pratiquants, particulièrement au sein des mystères, entre autres les secrets de Éleusis.

Dans le judaïsme, les éducations de nature obscur sont rassemblés sous le nom de kabbale.





Vu le pullulement du grand public obscur, n'importe qui s'en tient à quelques figures, à un cas ou deux, à des types. Telquel, on pense à nostradamus, à l'astrologie, à la transmutation alchimique, au st suaire de turin, à faust, à l'yoga, à gurdjieff... Chacune de ces choses ou de ces personnes, de ces évènements, de ces compétences ou de cette méthode suis trait pour trait des autres. En quoi? Chacun échappe à une optimisation scientifique, chacun ébloui. Qu'on prenne l'un d'eux comme référence d'ésotérisme, exemple ou type, et l'on pourra retourner aux théories de l'ésotérisme : ils sont tous mystérieux et développent notre créativité ou notre esprit. Toutefois si l'on souhaite atteindre de la facile fascination à une connaissance approfondie, on doit s'adresser à un institut de formation, ou une doctrine qui donnera des clefs : on doit recourir à un ésotérisme en vue de concevoir les choses ésotériques. On tombe sans doute là dans une spirale vertueuse.