Le mot ésotérisme fut utilisé, en occident, pour désigner des enseignements toutes les mouvements, qui, au sein de l'église chrétienne, ils appartenaient à des environnements cloisonnés qualifiés, pour la même raison, d'obscurs et regroupés sous la désignation générale d'ésotérisme catolique auquel appartient en particulier l'hermétisme chrétien.

Le bouddhisme comporte quelques branches obscurs ( vajrayâna tibétain, shingon japonais ) préconisant des initiations pour arriver au nirvâna. Le bardo thödol des tibétains est un livre ésotérique qui puise ses racines dans l'idéologie indienne du samkhya.


Maintenant, et en occident, le mot ésotérisme a été étendu à un chiffre considérable de mouvements, dont, entre autres, la magie, mais l'utilisation de ce terme à ces thèmes fut contesté par des auteurs, notamment rené guénon.

D'un autre côté, certains impulsions sectaires s'appuient sur des textes à teneur obscur.

l'ésotérisme comme exercice et expérience

Le principal de l'ésotérisme consiste surement dans une expérience, de modèle mystique, très communément dissimulé, secrète. Cet historique ésotérique, quand même exceptionnel, prend diverses formes : extase mystique, possession par les états d'esprit, regrimpée vers l'un, exaltation , ensoleillement, connaissance cosmique, émotion océanique... Sans aller si loin, l'ésotérisme peut se montrer comme mode de vie. Platon présentait l'orphisme comme une qualité de vie ( le quotidien orphique), le pythagorisme comme un niveau de vie. Tels que l'accentue jean-paul corsetti, il convient de distinguer radicalement le savoir faire ésotérique de son analyse érudite.