à présent, et en occident, le terme ésotérisme fut étendu à un nombre considérable de mouvements, dont, entre autres, la magie, mais l'application de ce mot à ces domaines fut contesté par des auteurs, particulièrement rené guénon.
D'un autre côté, certains impulsions sectaires s'appuient sur des textes à teneur ésotérique.

Le mot ésotérisme est d'origine grecque et, à l'époque antique, avait nommé habituellement des formations destinés à une petite quantité d'initiés, notamment dans les mystères, entre autres les mystères de Éleusis.

Dans la religion juive, les éducations de nature obscur sont rassemblés sous la dénomination de kabbale.



mystères de Éleusis
Dans la croyance grecque antique, les secrets de Éleusis appartenaient à une croyance à mystères, d'ordre obscur, effectué dans le temple de déméter à Éleusis ( à vingt km au sud-ouest d'athènes ). Ils sont dédié à déméter et sa fille perséphone.


D'après la mythologie grecque, hadès kidnappa perséphone, durant d'une cueillaison de fleurs dans les vergers d'enna ( sicile ), pour la marier et la faire devenir la reine des enfers.

Déméter retrouva perséphone qui n'a pas put être totalement libérée des enfers, du moment que ceux qui mangent la nourriture des décédés ne sont capables de retourner chez les vivants et que perséphone avait avalé 7 pépins de la grenade donnée par hadès. Zeus décréta néanmoins que perséphone passerait 50% de l'année chez les vivants avec sa mère et le reste du temps ( l'hiver ) avec hadès.

Tous les initiés préservaient les mystères de la religion et présumaient fermement qu'ils connaîtraient eux aussi une existence au lendemain de la mort à cause de leur initiation à ces secrets.



Les imposants mystères demeuraient neuf jours, d'après le temps de l'errance de déméter à la recherche de son enfant. Les mystes ( candidats vénérables des mystères ) se plongeaient dans la mer en vue de se purifier. Dans le télestérion, après avoir rompu le jeûne en mangeant le kykéôn , le rituel mystère d'initiation se faisait et les mystes obtenaient des révélations des adeptes et entraient dans le bonjour et à la vie après la mort.

Tous parlait le grec et n'avait pas commis d'homicide était admissible à participer aux rites. Les collaborants se constituaient : des mystes ( nouveaux adeptes ) qui y participaient pour une première fois pour y être initiés, des mystes adeptes y retournant une deuxième fois pour passer à un palier supérieur, les époptes qui étaient passés à ce palier et les prêtres qui dirigeaient aux rituels. Le rituel était également dirigée par une cohorte de membres du gouvenement moins importants répartis en plusieurs classes.