Les sciences occultes : apprendre ; apprendre la magie noir





Le terme ésotérisme est utilisé en ce qui concerne l'islam en vue de désigner le soufisme, combiné de préceptes de nature cachée et d'initiation au sein de cette croyance. Dans l'islam, l'ésotérisme, au sens général, est nommé plus globalement le tasawuf : le soufisme apparaît ainsi comme la formulation coranique du tasawuf.

Dans la religion juive, les formations de nature ésotérique sont regroupés sous la dénomination de kabbale.


Le taoïsme, par exemple dans son apparence touchant la quête d'immortalité, est également vu comme se trouvant de nature obscur.



La logique est la chose du grand public la mieux fragmentée. Ne me trouvant pas satisfait des sciences qu'on nous apprenait, j'avais parcouru tous les livres parlant de celles qu'on estime les plus curieuses et les plus raréfiés ( henri-corneille agrippa de nettesheim, paracelse, jacques gaffare ). Pour les mauvaises doctrines, je pensais déjà savoir très ce qu&rsquqqqqo;elles valaient, pour n'être plus sujet à être mené en bateau ni par les paroles d'un alchimiste, ni par les prévisions d'un astrologue, ni par les tromperies d'un magicien, ni par les artifices ou la vantardise d'aucun de tous les gens qui font métier d'expérience plus qu'ils ne savent.



Dans le pendule de foucault , umberto s'inculquant de borges, présente et raille une référence de l'occultisme reposant sur la notion de mystère. Le plus grand mystère ne dissimule que lui-même, un chouïa comme une échalote qui, à mesure des couches qu'on lui enlève, ne montre rien de plus qu'une échalote ; cependant, plus on la pèle, plus ça fait pleurer les yeux.