Devenir esoteriste : technique magie noire parfume



La difficulté du sujet ainsi que la variété de ses manifestations conduisent au décortiquer d'après beaucoup de chemins d'accès : étymologie, définitions, origines, images, modèles.

Le terme ésotérisme a été exploité, en occident, afin de nommer des formations toutes les courants, qui, dans l'église chrétienne, ils appartenaient à des atmosphères fermés nonnés, pour la même raison, d'obscurs et rassemblés sous l'appellation globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient spécifiquement l'hermétisme chrétien. On emploie également cette appelation, dans ce cadre, à propos des écrits de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on offre également la dénomination de rédigés théosophiques. Ce dernier terme devrait être différencié de la société théosophique, mouvement actuelle crée par mme blavastky. Et dont l'aspect obscur est refusé par beaucoup d'auteurs, parmi lesquels rené guénon1.


Le terme ésotérisme est exploité en ce qui concerne l'islam pour nommer le soufisme, combiné de préceptes d'ordre cachée et initiatique dans cette religion. Dans l'islam, l'ésotérisme, au sens général, est nommé plus globalement le tasawuf : le soufisme apparaît ainsi comme la formulation islamique du tasawuf.

Dans le judaïsme, les éducations de nature obscur sont rassemblés sous la dénomination de kabbale.



origines de l'occident

Les débuts de l'ésotérisme se perdent dans la nuit des temps et dans l'obscurité des traductions. La consommation d'hématite ou d'ocre, prétendue à partir de 100.000 ans, a peut-être une valeur symbolique. Il parait que, dès le paléolithique, l'individu s'intéresse à la vie après la mort ( 90.000 av. J. -c. ) 17, aux amulettes , sans doute au chamanisme. Les premières grottes-sanctuaires sont vieux d'au moins 16.000 av. J. -c. ; des états d'esprit vaillants, dont chantal jègues-wolkiewiez, en ont relevé les directions solsticiales.