Le occultisme : apprendre ; les sciences occultes




Le terme ésotérisme a été utilisé, en occident, en vue de nommer des éducations ainsi que des courants, qui, dans l'église chrétienne, ils appartenaient à des atmosphères cloisonnés nonnés, pour la même raison, d'obscurs et rassemblés sous la dénomination globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient en particulier l'hermétisme chrétien. On emploie aussi cette dénomination, dans ce cadre, en ce qui concerne les compositions de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on donne aussi la dénomination de rédigés théosophiques. Ce dernier point devrait être différencié de la société théosophique, mouvement d'aujourd'hui crée par mme blavastky. Et dont l'aspect ésotérique est refusé par beaucoup d'auteurs, parmi lesquels rené guénon1.



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Les métaphores, les analogies, comme les coups de crayon, les peintures ils discutent de l'ésotérisme comme d'un œuf originel et plein, d'un labyrinthe, d'une perle...

Guénon a sa notoriété penchée pour : l'écorce et le coeur ( el-qishr wa el-lobb ). Ce thème, qui est celui d'un des nombreux traités de mohyiddîn ibn 'arabî, il formule sous un style allégorique les rapports de l'exotérisme et de l'ésotérisme, comparés réciproquement à l'enveloppe d'un fruit et à sa partie intérieure, pulpe ou amande. L'enveloppe ou l'écorce il s'agit de la sharî'a, c-à-d le dispositif religieuse extérieure, qui s'adresse à tous et qui est réalisée pour être suivie par tous. Le coeur ( el-lobb ), il s'agit de l'haqîqa, c'est-à-dire la réalité ou la réalité essentielle. Sur un autre symbolisme, sharî'a et haqîqa sont aussi nommées réciproquement tels que l''corpse et la 'moelle' ( el-mukh ), dont les rapports sont parfaitement les mêmes que ceux de l'écorce et du coeur ; et sans aucun doute trouverait-on encore d'autres signes synonymes à ceux-là. Ce dont il s'agit, sous quelque désignation qu'il s'agisse, c'est toujours l''extérieur' ( ez-zâhir ) et l''intérieur' , c. -à-d. L'apparent et le caché.