L'adjectif grec ésotérique provient du grec , qui veut dire interne. Par ailleur, le sens est lié aux établissements philosophiques grecques, avant tout au pythagorisme qui avait différencié entre disciples pratiquants ( les ésotériques ) et non initiés, lesquels sont soit d'avenirs pratiquants, des novices , soit des gens classiques ( les profranes ).

esotérisme et spiritualité

Les lectures obscurs du monde ou des textes sacrés sont nées du besoin d'exprimer des émotions de nature spirituel à partir de paroles. Comme aucun terme du vocabulaire courant n'est conforme à ce défi, la lecture obscur fait appel à des paraboles, à des images ou alors à des signes, plus que à la tradition religieuse, cela par besoin plus que par volonté de cacher les choses. Il résulte de ce vocable une sentation de mystère chez les non-adeptes, alors que l'usage du symbolisme est inévitable, et inséparable avec le terme écrite de la spiritualité.

Ainsi, l'alchimie n'aurait pas pour but de changer le plomb en or mais d'afficher une recherche allégorique, indirecte, de la richesse spirituelle, à travers les métaux. Le fait que ces emblèmes soient liés à la sphère matérielle et bassement pécuniaire du peuple était un moyen pour les alchimistes de juger les gens qui débarquaient les voir uniquement afin de faire de l'or, du bénéfice. La lecture, et le niveau de compréhension des symboles détermine alors la maturité spirituelle d'une personne, et, par suite, sa capacité à concevoir la tradition obscur dans laquelle elle s'inscrit.

Néanmoins une de plus partie des alchimistes usait de cette même prétention afin de se faire venir les bonnes grâces du prince, s'ouvrant donc leur cour. Au xve siècle, la richesse de gilles de rais y passa.