La dénomination esôterisme est au grec moderne.
L'adjectif obscur émerge, en français, en 1752, dans le supplément du dictionnaire de trévoux : Ézotérique, adj. Ce qui est obscur, dissimulé, et peu commun.

Le bouddhisme comporte certaines branches obscurs ( vajrayâna tibétain, shingon japonais ) recommandant des initiations afin de parvenir au nirvâna. Le bardo thödol des tibétains est un livre obscur qui prend ses fondements dans l'idéologie indienne du samkhya.


Maintenant, et en occident, le mot ésotérisme fut étendu à un chiffre considérable de courants, dont, par exemples, la sorcellerie, mais l'application de ce terme à ces sujets a été contesté par des auteurs, particulièrement rené guénon.

Par ailleurs, beaucoup d'impulsions sectaires se soutiennent sur des textes à teneur obscur.