Le terme ésotérisme fut exploité, en occident, en vue de désigner des formations toutes les mouvements, qui, dans l'église chrétienne, ils appartenaient à des atmosphères fermés qualifiés, pour la même raison, d'ésotériques et rassemblés sous la désignation globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient en particulier l'hermétisme chrétien.

La difficulté de l'objet mais aussi la variété de ses manifestations amènent au comprendre d'après beaucoup de voies d'accès : étymologie, définitions, origines, images, modèles.

Le mot ésotérisme fut utilisé, en occident, en vue de désigner des formations ainsi que des courants, qui, dans le christianisme, ils étaient à des environnements cloisonnés nonnés, pour la même raison, d'ésotériques et regroupés sous la dénomination générale d'ésotérisme chrétien auquel appartient en particulier l'hermétisme chrétien. On utilise également cette dénomination, dans ce contexte, à propos des écrits de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on offre également la dénomination d'écrits théosophiques. Ce dernier terme devrait être différencié de la société théosophique, mouvement moderne fondée par madame blavastky. Et dont le caractère ésotérique est contesté par beaucoup d'auteurs, au sein de lesquels rené guénon1.


Le terme ésotérisme est exploité à propos de la religion islamique pour nommer le soufisme, ensemble de dogmes d'ordre cachée et initiatique au sein de cette religion. Dans l'islam, l'ésotérisme, au sens général, est nommé plus généralement le tasawuf : le soufisme se montre ainsi telque la formulation coranique du tasawuf.

Dans la religion juive, les formations de nature ésotérique sont regroupés sous la dénomination de kabbale.



mystères de Éleusis
Dans la croyance grecque antique, les mystères de Éleusis appartenaient à une religion à mystères, d'ordre obscur, réalisé dans le sanctuaire de déméter à Éleusis. Ils sont pour déméter et sa fille perséphone.


D'après la mythologie de la grèce antique, hadès ôta perséphone, durant d'un ramassage de fleurs dans les vergers d'enna ( sicile ), afin de l'épouser et en faire la reine des enfers. Les récoltes cessèrent d'augmenter dans les champs tandis que déméter traversait le monde nécessitant son enfant. Un jour, alors qu&rsquqqqqo;elle errait sur les terres de grèce sous les aspects d'une vieille clocharde, elle entra dans la commune de Éleusis et demanda l'abri. Les ressortissants l'accueillirent avec générosité et, en reconnaissance, la déesse révéla sa vraie identité et gratifia ses bienfaiteurs : elle leur révéla ses mystères et la maîtrise de l'agriculture.

Déméter retrouva perséphone qui ne put être entièrement libérée des enfers, du moment que ceux qui se nourrissent du repas des décédés ne peuvent revenir chez les vivants et que perséphone s'était nourri de 7 pépins de la grenade ( fruit associé au mariage ) donnée par hadès. Zeus décréta néanmoins que perséphone passerait 50% du temps chez les vivants ( pendant toute la saison des cultures ) avec sa mère et le surplus de l'année avec hadès.



le psaume d'homer à déméter est la principale source de messages sur les rites.



Les imposants secrets demeuraient 9 jours, d'après la durée de l'errance de déméter cherchant son enfant. En septembre, avant la saison d'automne, on se préparait aux fesitivités préalables qui se déroulaient en-dehors et qui sont donc mieux représentées. Une durée de jeûne s'écoulait avant que la procession de mystes accompagnent la statue d'iacchos, les hiéra et les hommes religieux en direction de Éleusis tout du long du chemin sacrée. Au sein de ceux qui avaient dirigé le rituel, on trouvait quatre ministres : l'hiérophante , le dadouque , l'hiérocéryce , et l'assistant ( dont la tenue vestimentaire symbolisait la lune ). Les mystères étaient ouverts à tous, personnalité importantes comme pauvres, hommes comme femmes.