Vaudouisme et esoterisme : apprendre ; la magie noire africaine




Le terme ésotérisme est de provenance grecque et, dans l'antiquité, désignait habituellement des formations destinés à une petite quantité d'initiés, particulièrement dans les secrets, entre autres les secrets de Éleusis.

Le mot ésotérisme a été utilisé, en occident, afin de nommer des formations toutes les mouvements, qui, dans le christianisme, ils étaient à des environnements fermés nonnés, pour la même raison, d'ésotériques et regroupés sous l'appellation globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient en particulier l'hermétisme chrétien. On utilise aussi cette dénomination, dans ce contexte, en ce qui concerne les compositions de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on offre également le nom d'écrits théosophiques. Ce dernier élément devrait être discerné de la société théosophique, mouvement actuelle fondée par mme blavastky. Et dont le comportement obscur est refusé par certains auteurs, au sein de lesquels rené guénon1.



racine

L'étymologie fait de l'ésotérisme le précepte des choses intérieures, donc secrètes et spirituelles.

Les livres ézotériques des vieux ne pouvaient s'entendre, s'ils n'en donnoient eux-mêmes l'explication. La dénomination ésotérisme, en langue française, date de 1828 : il apparaît chez l'historien jacques matter, dans un livre qui traite d'ésotérisme chrétien, histoire critique du gnosticisme, p. 837. En anglais, esoteric apparaît en 1701, comme nom, dans l'history of philosophy de thomas stlanley, à propos des adeptes de pythagore : the auditors of pythagoras were of two sorts : exoterick and esoterick. Stanley a parfaitement remarqué que les exotériques ne sont pas des profanes mais des disciples du 1er degré, débutants. Le terme anglais esotericism ( pour ésotérisme ) vient au monde en 1846.