La complexité de l'objet ainsi que la variété de ses manifestations amènent à l'étudier d'après plusieurs voies d'accès : étymologie, définitions, origines, images, types.

à présent, et en occident, le terme ésotérisme a été étendu à un chiffre colossal de mouvements, dont, entre autres, la sorcellerie, mais l'utilisation de ce terme à ces domaines fut contesté par des auteurs, notamment rené guénon.

D'un autre côté, certains remous sectaires se soutiennent sur des textes à teneur ésotérique.


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Les métaphores, les analogies, tels que les dessins, les peintures ils discutent de l'ésotérisme comme d'un œuf originel et plein, d'un labyrinthe, d'une perle...

Guénon a sa notoriété penchée pour : l'écorce et le coeur. Ce thème, qui est celui d'un des nombreux étudiés de mohyiddîn ibn 'arabî, il formule sous un type symbolique les rapports de l'exotérisme et de l'ésotérisme, comparés réciproquement à l'enveloppe d'un fruit et à son élément interne, pulpe ou amande. L'enveloppe ou l'écorce il s'agit de la sharî'a, c. A. D. Le dispositif religieuse extérieure, qui concerne tous et qui est réalisée pour être accompagnée par tous. Le coeur , il s'agit de l'haqîqa, c. -à-d. La réalité ou la vérité crutialle. Sur un autre symbolisme, sharî'a et haqîqa sont également nommées respectivement tels que l''corpse ( el jism ) et la 'moelle' ( el-mukh ), dont les comptes rendu sont parfaitement les mêmes que ceux de l'écorce et du noyau ; et sans aucun doute pourrait on trouver encore d'autres symboles équivalents à ceux-là. Ce dont c'est, sous quelque désignation qu'il s'agisse, c'est toujours l''extérieur' et l''intérieur' ( el-bâtin ), c-à-d le visible et le caché.