Le occultisme : apprentissage ; envoutement
Le terme ésotérisme fut exploité, en occident, pour nommer des enseignements ainsi que des mouvements, qui, au sein de l'église chrétienne, ils étaient à des milieux fermés qualifiés, pour la même raison, d'ésotériques et rassemblés sous la dénomination globale d'ésotérisme chrétien auquel appartient spécifiquement l'hermétisme chrétien. On emploie également cette dénomination, dans ce cadre, à propos des documents de jacob boehme, de jean de ruisbroek, auxquels on offre également le nom d'écrits théosophiques. Ce dernier point devrait être différencié de la société théosophique, mouvement actuelle crée par madame blavastky. Et dont le caractère ésotérique est refusé par certains auteurs, parmi lesquels rené guénon1.
Dans la religion juive, les enseignements d'ordre ésotérique sont rassemblés sous la dénomination de kabbale.
l'ésotérisme comme usage et expérience
L'essentiel de l'ésotérisme réside surement dans une expérience, de modèle mystique, assez régulièrement caché, mystèrieuse. Ce vécu obscur, quand même remarquable, prend diverses formes : béatitude mystique, possession par les façons de pensée, regrimpée vers l'un, béatitude , illumination, connaissance mystique, sentiment océanique... Sans aller si loin, l'ésotérisme pourra se présenter comme niveau de vie. Platon présentait l'orphisme comme un niveau de vie , le pythagorisme comme un mode de vie. Tels que le souligne jean-paul corsetti, il faut différencier diamétralement le savoir faire ésotérique de son étude savante.